La croissance des cités passe par le développement d’une périphérie qui bouleverse nos références et fait oublier l’unicité de la ville en ses murs (...) Autour du noyau historique des villes, (..) naît la ville discontinue avec ses réseaux. Hétérogène, elle va du pavillonnaire aux clochards célestes, de l’usine aux palladiums. François Barré.